A notre époque, la qualité d’humaniste est constamment revendiquée, en particulier par les hommes politiques. Nous sommes surpris lorsque nous découvrons que les prétendants à cette démarche développent des approches très différentes de l’être humain et de sa vie en société.

Tous les « humanistes » ne proposent pas les mêmes politiques, et n’analysent pas de la même manière les spécificités de notre pays.

Mais d’où viennent ces conflits entre « humanistes » ? Tout simplement de l’objet de leur préoccupation : de l’homme lui-même. L’homme est au cœur de la cité, bien sûr, mais quel homme ?

C’est à cette question que ce livre, qui est à l’origine de la démarche de l’Institut, tente de répondre.

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Dans ce nouvel ouvrage, nous analysons la révolte des Gilets jaunes :  de simple jacquerie qu’elle apparaissait à ses débuts, elle s’est révélée, au fil de ses actes, une insurrection du réel contre le virtuel, du peuple charnel, enraciné, contre un système mondialisé et déshumanisé.

Ce véritable séisme nous offre une occasion unique de renouer avec un humanisme véritable, basé sur la dignité de chaque personne, la common decency, si bien décrite par Orwell…

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La crise sanitaire nous fait envisager l’écologie sous un autre angle. L’idéologie archaïque centrée sur l’adoration de la déesse Terre, « Gaïa », n’est plus de mise après les épisodes tragiques de ces derniers mois.

C’est l’homme qu’il faut remettre au cœur de nos préoccupations. Une véritable écologie doit assurer la plénitude de sa survie en harmonie avec la nature ; une authentique défense naturelle doit s’en assurer. C’est ce que nous avons essayé de démontrer dans cette étude.

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